Nombre d’épisodes : 26 (25 min chacun)
Année de production : 2008
Auteur : Tada Kaoru

Aihara Kotoko ne nage pas dans le bonheur. Etudiante assez mauvaise (faisant partie de la très décriée classe F de son lycée) et plutôt maladroite, elle vient par-dessus le marché de se faire rejeter par un garçon dont elle est amoureuse depuis un an et qui n’a même pas le respect de prendre la lettre d’amour qu’elle lui tend en tremblant. Il faut dire que ce n’est pas n’importe qui : Irie Naoki est le meilleur élève du lycée, très populaire car joli garçon, et il le sait.
Mais il faut croire qu’un malheur n’arrive jamais seul : peu après, un tremblement de terre agite la ville et la toute nouvelle maison des Aihara s’écroule. La jeune fille et son père vont alors être hébergés par un ami d’enfance de ce dernier… et Kotoko découvre avec horreur que c’est le propre père d’Irie Naoki. La voilà donc obligée de cohabiter avec celui qu’elle déteste maintenant plus que tout…

Avis
Une intrigue originale parce qu’elle débute lors de la 2e année de lycée de l’héroïne et se poursuit bien des années après qu’elle a obtenu un emploi (dont on taira le nom pour ne pas gâcher la surprise). L’originalité tient aussi, pour moi (débutante dans les anime, il faut le rappeler), au caractère particulier du héros, Irie Naoki, qui loin d’être le bishonen standard, est plutôt du genre rustre et prétentieux. Ce qui rend le couple Kotoko/Irie d’autant plus intéressant. Les autres personnages sont bien définis, et on apprend à les aimer (si, si, même ce balourd de Kinnosuke qui m’énervait dans les premiers épisodes).

Point positif pour moi, cet anime m’a fait beaucoup rire. Dans chaque épisode, il y avait toujours une anecdote, une situation ou un dialogue qui me faisait aller du sourire à la crise de fou-rire, souvent grâce à Kotoko et ses plans foireux pour conquérir l’amour de sa vie. La mère de Naoki est aussi un personnage burlesque au possible, toujours à faire des plans machiavéliques pour mettre en couple les deux héros, au grand dam de son fils !

Point négatif… eh bien, je n’en trouve pas vraiment si ce n’est que j’ai commencé cet anime alors qu’il n’était pas terminé et que j’ai dû ronger mon frein en attendant semaine après semaine les épisodes 24 à 26 !

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Itazura na Kiss

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